TEXTES, CHANSONS, VERITES PROFONDES ET AUTRES PLAISANTERIES...
Equipe
- LA BELLE ÉQUIPE
- Textes de Francis Blanche, certains en collaboration avec Pierre Dac
- Un spectacle conçu, réalisé et présenté par Jean-Baptiste Artigas, Guillaume Destrem, Alain Dumas, Didier Le Gouic
- Musiques de Jean-Baptiste Artigas, Francis Blanche, Gérard Calvi, Pierre Dudan, Guillaume Destrem, Alain Dumas, Henri Lecca, Maurice Ravel, Camille Saint-Saëns, Frantz Schubert, Ludwig Van Beethoven
- Création lumières : Stéphane Baquet
- Régie lumière et son : Pierre Gayant
- Costumes : Noémie Le Tily
Résumé
Durée : 1h20
Quatre acteurs, cinq chaises, un piano…
Le spectacle fait alterner chansons, saynètes, poèmes, calembours et aphorismes et entraîne le spectateur dans la variété de l’œuvre, autant qu’il lui donne à découvrir un autre visage du plaisant fantaisiste, ses profondeurs, douleurs et richesses insoupçonnées.
Note d'intention
Une scénographie épurée, cherchant dans le dénuement du cabaret, la présence d'un accompagnement musical simple, la présence de l'acteur et le pouvoir d'un simple accessoire, la force de l'évidence.
Une aventure musicale, jouée et chantée où plaisir et bon plaisir ont guidé nos choix, l'occasion de retrouvailles avec des choses connues, mais aussi découvertes, déclinaisons, variations...
C'est toute la diversité et la richesse de cet artiste inclassable et génial que nous souhaitons offrir aux spectateurs.
Pour que puisse s'entendre la parole impertinente (donc pertinente) du petit homme colérique qui mine de rien et pour longtemps, continuera à nous aider à vivre et, au besoin, à mourir.
"Pas besoin de machinerie savante ou de décor coûteux pour qu'un spectacle nous laisse incroyablement ragaillardis. Le talent, voilà tout ! Les quatre compères de la Belle Équipe n'en manquent pas, c'est simple, ils savent tout faire sans ostentation. "
"Quatre comédiens dont un pianiste de jazz, font revivre l'aventure de ce diable d'homme en un spectacle alternant chansons, saynètes, poèmes, calembours ou extraits d'interviews inédites. C'est drôle, triste parfois, fou. Courez-y, on a l'impression d'y retrouver un ami qu'on n’avait pas vu depuis longtemps."
"Il faut courir au Lucernaire, en métro ou en chaise à porteur, en scooter ou en patins à glace, qu'importe, pour passer la Nuit Blanche chez Francis, montage de textes et de chansons du clown à lunettes. Voilà une aventure interprétée par un quatuor réjouissant qui rappelle celui des Frères Jacques. l'échantillon a ceci de précieux qu'il est représentatif de l'œuvre protéiforme de Francis Blanche : détournements de La Fontaine (Le Robot et le Cornard), airs d'opérette (La Truite de Schubert), moralités déguisées en pied-de-nez ("Pour que l'école dure, amis donnez !"), sketchs radiophoniques (L'Accordeur de participes). Résultat : une brassée de mots d'auteur, un sens avéré de l'absurde, une bonne dose d'humour noir et de larges rasades de gaieté.
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